Journée pluvieuse
Bonsoir!
Météo instable, pas assez d'UV, trop de nuages; résultat : FARE NIENTE volontaire dans mon antre ! Mais si le corps renonce, le cerveau tournicote sérieusement dans sa boîte (crânienne cela va de soi). Envie soudaine de lyrisme, de grandes envolées, de morts interminables et vocalisantes, de bons gros méchants bien haïssables et de jeunes oies et dindons niaisement héroiques. En bref: envie d'"OPERA".
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Allez, maso, un petit Wagner bien serré! On aborde le "gros pavé", la grande Tétra (et non pas le grand tétra; le chant n'est pas le même, ni le plumage d'ailleurs).
Pour ceux qui sont au fond de la classe (près du radiateur, ma place favorite) je récapitule l'argument, "fortissimo et allegretto". J'ai horreur d'être docte, aussi, c'est avec mes mots que vous aurez droit à cette histoire (les puristes auront peut-être le poil dressé sur leur digne chef, mais tant pis!)
Prenez votre enregistrement, ou empruntez-le et on verra ce que VOUS et plus modestement moi pouvons en tirer. On va essayer de "délirer" sur l'Anneau ; on peut raconter comme ça nous chante (c'est le cas de le dire!) cette norroise histoire mâtinée de Wagner. Tous les avis seront acceptés s'ils restent de bon goût (mais vive l'humour décalé, sel de l'existence!).
Cette première prise de contact faite, demain viendra le petit topo sur la première journée de cette tétralogie (je me contenterai pour l'instant de ne raconter que l'argument et attendrai objectivement que vous rebondissiez dessus, que ce soit sur l'histoire elle-même où sur vos passages préférés ou détestés.
Après cette longue missive, j'espère ne vous avoir pas trop fait peur! Rassurez-vous, je n'ai jamais mangé personne (je n'aime pas la viande!) et suis surtout gourmande d'avis et d'idées différentes (vive le métissage!)
Dormez-bien
Météo instable, pas assez d'UV, trop de nuages; résultat : FARE NIENTE volontaire dans mon antre ! Mais si le corps renonce, le cerveau tournicote sérieusement dans sa boîte (crânienne cela va de soi). Envie soudaine de lyrisme, de grandes envolées, de morts interminables et vocalisantes, de bons gros méchants bien haïssables et de jeunes oies et dindons niaisement héroiques. En bref: envie d'"OPERA".
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Allez, maso, un petit Wagner bien serré! On aborde le "gros pavé", la grande Tétra (et non pas le grand tétra; le chant n'est pas le même, ni le plumage d'ailleurs).
Pour ceux qui sont au fond de la classe (près du radiateur, ma place favorite) je récapitule l'argument, "fortissimo et allegretto". J'ai horreur d'être docte, aussi, c'est avec mes mots que vous aurez droit à cette histoire (les puristes auront peut-être le poil dressé sur leur digne chef, mais tant pis!)
Prenez votre enregistrement, ou empruntez-le et on verra ce que VOUS et plus modestement moi pouvons en tirer. On va essayer de "délirer" sur l'Anneau ; on peut raconter comme ça nous chante (c'est le cas de le dire!) cette norroise histoire mâtinée de Wagner. Tous les avis seront acceptés s'ils restent de bon goût (mais vive l'humour décalé, sel de l'existence!).
Cette première prise de contact faite, demain viendra le petit topo sur la première journée de cette tétralogie (je me contenterai pour l'instant de ne raconter que l'argument et attendrai objectivement que vous rebondissiez dessus, que ce soit sur l'histoire elle-même où sur vos passages préférés ou détestés.
Après cette longue missive, j'espère ne vous avoir pas trop fait peur! Rassurez-vous, je n'ai jamais mangé personne (je n'aime pas la viande!) et suis surtout gourmande d'avis et d'idées différentes (vive le métissage!)
Dormez-bien