Vingt-mille lieues sous le Rhin
Bonsoir!
Comme promis, suite du feuilleton wagnérien:
Je suis boulimique d''accents wagnériens, mais il y a une limite aux capacités humaines, aussi, je m'injecte cette panacée à dose homéopathique, un seul opéra par écoute et même parfois, un seul acte. Je vous prescris donc la même posologie et ne vous raconterai que la première scène de l'Or du Rhin.
Voici donc, ladies and gentlemens, la très édifiante histoire d'un monde pas très peuplé, mais bigrement survolté.
Plantons d'abords le décors et les protagonistes
Fin de la première scène (sur le papier, ça à l'air court, mais il faut compter sans la verve créatrice d'un Richard, qui enveloppe une histoire plutôt bête de dépit amoureux dans les plis mouvants de ses fameux "motifs" évocateurs. (et puis, sous l'eau, ça ralenti les mouvements!).
J'aimerai savoir si quelqu'un voit un sens quelconque au fait que, souvent dans Wagner, les protagonistes doivent renoncer à pas mal de choses et surtout au sexe? (voire Parsifal, entre autre). Serait-ce le passage obligé vers une renaissance, ou une sublimation de l'être? Je m'interpelle car, je ne maîtrise pas assez l'art wagnérien des allusions et aspirations philosophiques pour avoir une réponse convenable. ZU HILFE !(comme dirait Pamino).
Suite prochainement, si mes astreintes diverses m'en laissent le temps.
Bonsoir et à bientôt
Comme promis, suite du feuilleton wagnérien:
Je suis boulimique d''accents wagnériens, mais il y a une limite aux capacités humaines, aussi, je m'injecte cette panacée à dose homéopathique, un seul opéra par écoute et même parfois, un seul acte. Je vous prescris donc la même posologie et ne vous raconterai que la première scène de l'Or du Rhin.
Voici donc, ladies and gentlemens, la très édifiante histoire d'un monde pas très peuplé, mais bigrement survolté.
Plantons d'abords le décors et les protagonistes
- une germanie floue et même vague (normal, c'est les rives du Rhin).
- quatre personnages (tous non-humains): trois filles, esprits protecteurs des eaux, et un nain
Fin de la première scène (sur le papier, ça à l'air court, mais il faut compter sans la verve créatrice d'un Richard, qui enveloppe une histoire plutôt bête de dépit amoureux dans les plis mouvants de ses fameux "motifs" évocateurs. (et puis, sous l'eau, ça ralenti les mouvements!).
J'aimerai savoir si quelqu'un voit un sens quelconque au fait que, souvent dans Wagner, les protagonistes doivent renoncer à pas mal de choses et surtout au sexe? (voire Parsifal, entre autre). Serait-ce le passage obligé vers une renaissance, ou une sublimation de l'être? Je m'interpelle car, je ne maîtrise pas assez l'art wagnérien des allusions et aspirations philosophiques pour avoir une réponse convenable. ZU HILFE !(comme dirait Pamino).
Suite prochainement, si mes astreintes diverses m'en laissent le temps.
Bonsoir et à bientôt