Honorius, le retour!
Bonjour!
Toujours en italique parce que toujours... virtuellement absente ici (hé, hé) lors vous avez aimé hier? Et bien en voilà encore un petit morceau. Et j'attend les médisants qui me traitent de bavarde tiens... j'en connais un autre (mais lui, il ruse, il met ça par petits bouts!) A toi très cher vieux sorcier.
Bonne journée à tous et à toute à l'heure.
La dragonne
Ah, au fait, hier, j'ai été scotchée par un coup de gueule ici, c'est bizarre on dirait que ça traîne dans l'air...ce vent de révolte.
Toujours en italique parce que toujours... virtuellement absente ici (hé, hé) lors vous avez aimé hier? Et bien en voilà encore un petit morceau. Et j'attend les médisants qui me traitent de bavarde tiens... j'en connais un autre (mais lui, il ruse, il met ça par petits bouts!) A toi très cher vieux sorcier.
Bonne journée à tous et à toute à l'heure.
La dragonne
Ah, au fait, hier, j'ai été scotchée par un coup de gueule ici, c'est bizarre on dirait que ça traîne dans l'air...ce vent de révolte.
"On se retrouve comme deux couillons debout dans le champ... La nuit est chaude, très claire, le ciel est constellé d’étoiles qui scintillent, les arbres et les buissons se découpent sur le fond, un peu comme sur un négatif ou une peinture surréaliste… Tout est calme, trop calme, la nature elle-même semble retenir son souffle… Brusquement la lueur rouge réapparaît au-dessus du canal, recommence très lentement son étrange ballet, s’arrête, semble hésiter… et fonce soudain droit sur nous… Courageusement nous effectuons une rapide (très rapide !) retraite vers le gué de la rivière… au bout de quelques minutes, comme il ne se passe rien… on hisse (courageusement !) notre nez au ras des pâquerettes (c’est une image !!) La lueur est là, immobile au milieu du champ, à une dizaine de mètres de hauteur, on ne distingue rien, la lumière est trop vive… et le silence impressionnant.. On observe un moment, sans bouger… c’est alors que se met à clignoter une lueur orange, très vive… toujours la lumière rouge… cela dure un instant… et soudain (plus vite que le temps de le dire) à une vitesse inimaginable « la chose » rejoint le firmament et se perd dans les étoiles…
« Qu’est ce que c’est que ce truc demande Jean Claude ? »
« Je sais pas, je réponds connement, je sais pas… »
On reste un moment là sans bouger, sans rien dire… étrangement la vie recommence à se manifester, les grenouilles chantent, on entend au loin le cri d’une chouette en chasse… On finit par se recoucher, mais le sommeil ne vient pas, on s’interroge… un hélicoptère, un avion, un ballon sonde…Vénus (faut pas déconner !) … C’est alors que soudain, comment vous dire, la tente est inondée de lumière, comme en plein soleil… il est environ 1 heure du matin… je risque un œil dehors, insoutenable, je suis aveuglé… on effectue à nouveau un repli ultra rapide vers le gué… mais comme rien ne se passe de plus, une fois encore je tends mon nez… et c’est incroyable, un rayon de lumière très blanc, condensé (concentré !) éclaire la tente, juste la tente, et pourtant la source lumineuse semble provenir d’environ deux à trois cent mètres, juste à l’endroit ou la rivière fait un petit méandre… (je vous l’ai dit, je connais très bien le coin) pas une voiture, non pas une voiture… et puis doucement la force du rayon lumineux diminue… au bout d’un moment il ne reste plus qu’une faible lueur… orangée, comme un hublot… puis plus rien… mais à nouveau le silence. Et comme on n’a pas vraiment envie d’aller voir de plus près (courageux mais pas téméraires !)… On en profite pour lever le cordeau, deux belles anguilles sont prises, on les met dans notre bourriche, et on relance le fil… C’est alors que les sons… les cris (pas facile à décrire cela) se font entendre, quelque chose entre un bêlement de chèvres et un enfant qui hurle, en tous les cas le genre de truc qui donne des sueurs froides….
Il faudra encore attendre pour le dernier épisode de cette aventure…Hé hé…
A suivre"
Brrrrr, la Guerre des Mondes à côté, c'est de la roupie de sansonnet... on attend donc!
« Qu’est ce que c’est que ce truc demande Jean Claude ? »
« Je sais pas, je réponds connement, je sais pas… »
On reste un moment là sans bouger, sans rien dire… étrangement la vie recommence à se manifester, les grenouilles chantent, on entend au loin le cri d’une chouette en chasse… On finit par se recoucher, mais le sommeil ne vient pas, on s’interroge… un hélicoptère, un avion, un ballon sonde…Vénus (faut pas déconner !) … C’est alors que soudain, comment vous dire, la tente est inondée de lumière, comme en plein soleil… il est environ 1 heure du matin… je risque un œil dehors, insoutenable, je suis aveuglé… on effectue à nouveau un repli ultra rapide vers le gué… mais comme rien ne se passe de plus, une fois encore je tends mon nez… et c’est incroyable, un rayon de lumière très blanc, condensé (concentré !) éclaire la tente, juste la tente, et pourtant la source lumineuse semble provenir d’environ deux à trois cent mètres, juste à l’endroit ou la rivière fait un petit méandre… (je vous l’ai dit, je connais très bien le coin) pas une voiture, non pas une voiture… et puis doucement la force du rayon lumineux diminue… au bout d’un moment il ne reste plus qu’une faible lueur… orangée, comme un hublot… puis plus rien… mais à nouveau le silence. Et comme on n’a pas vraiment envie d’aller voir de plus près (courageux mais pas téméraires !)… On en profite pour lever le cordeau, deux belles anguilles sont prises, on les met dans notre bourriche, et on relance le fil… C’est alors que les sons… les cris (pas facile à décrire cela) se font entendre, quelque chose entre un bêlement de chèvres et un enfant qui hurle, en tous les cas le genre de truc qui donne des sueurs froides….
Il faudra encore attendre pour le dernier épisode de cette aventure…Hé hé…
A suivre"
Brrrrr, la Guerre des Mondes à côté, c'est de la roupie de sansonnet... on attend donc!